Retour au Montana

Je suis de retour au Montana, le mois de septembre(95) et l’hiver particulier au Montana arrivent bientôt et ils veulent que j'écrive ce livre. Ainsi je décidais de retourner au lac pour commencer le projet et on me dit que lorsque je serais là-bas, j’aurais une vision. Bien que le jeu de la provocation et la réalité avait duré un certain temps maintenant, je n'ai pas su quand, quoi et si cela se produirait. Je passais la première nuit au camp haut, là où l'histoire de mes leçons d'enfance

ont été mis sur bande magnétiques, la première fois que j'avais jamais essayé de commencer à sauver l'histoire pour d'autres. Une fois au lac on me dit de me préparer en collectant une pile de bois pour le feu de nuits. Ensuite je disposais le sac de couchage et dis mes prières. Je m’allongeais et attendais, ne sachant pas si c'était juste d’autres canulars ou autres choses. Rien ne se produisit, et quand je me suis réveillé au matin, le professeur était de bonne humeur et a commencé à me montrer des choses dans le livre et je prenais des notes sur les marges pendant environ une ou deux heures, ensuite la conversation se termina et je déposais mon stylo. Plus tard dans la journée, je rassemblais mes affaires et je suis parti, car je n’avais pas envie de pêcher, je voulais juste rentrer et retrouver mes problèmes, comme des factures, etc..

Sur le chemin du retour, il était appuyé sur moi ce qui rendit la ballade de 7 miles ennuyeuse, et vers la fin je dis que je réaliserai une prophétie que si ce que vous avez prédit n’arriva pas, et que je devrais brûler le livre au coucher du soleil. Je suis revenu à la maison, et j’ai démarré un feu et détruit la cassette et ai commencé à déchirer les pages du livre et les jeter dans le feu, c’est bon de les observer brûler et disparaître. Habituellement la voix est juste dans ma tête et il n'y a aucune sensation de quelque chose de distinct, juste la voix. Mais cette fois c’était comme s’il était au-dessus de moi observant comme un père bienveillant observe son fils, même pas en colère, et bien que j’espérais que ce serait facile de me débarrasser de ceci, je savais que c'était juste le commencement de mes années universitaires.

Ainsi l'écriture du livre a été suspendue et j'ai commencé à rechercher du travail en tant que charpentier pour payer les factures. Après environ six semaines passées à entendre comment je devais arrêter et écrire, j'ai obtenu un prêt juste avant Thanksgiving. J'ai commencé à en travailler sur la maison, qui en avait besoin, et j’achetais un forfait de ski. J'étais impatient de passer du temps sur les pentes pour la première fois dans ma vie. J'ai pris le stylo et j’ai commencé à travailler sur les nouveaux Quatrains que j'avais commencé à Seattle.

Le jour de Thanksgiving était silencieux et cette nuit comme j’étais assis à mon bureau dans la noire et froide maison, j'ai entendu " et un des Rois veut te parler". J'ai eu quelques secondes de réflexion me demandant qui cela pouvait-être, un de ceux que je connaissais ou un des deux inconnus. Puis Le Christ prit la parole, " Ma plus grande épreuve fut que je ne puis avoir de famille en tant qu’homme ", et ensuite je pouvais sentir Son esprit pendant un instant qui sembla une éternité même si cela avait duré moins d'une minute. Le message était très claire : sortez vous la tête du cul et allez-y, juste comme Abraham il y a tant d’années. J'avais été si impressionné et anéanti par cette rencontre que je posais le stylo et ne le repris qu’en juin

Au 23 décembre j'étais vraiment abattu du fait des leçons étant donné qu’ils s'étaient concentrés sur moi tout l’automne. Je nourrissais le feu et alors que j'allais fermer la porte de fourneau, j'ai entendu, " Laisse-la ouverte, quelqu'un veut te parler.". Après avoir fait le tour et je regardais en l’air et je vis Abraham devant moi. Il était une sorte d’aura quatre d’environ 6 pouces de large qui partait du sol en formant les contours d'un homme. Je pouvais ressentir comme il était fier de dire, "Dieu m’a donné un engagement un jour…et tu es l’élu." et j'ai dit, " A cause de la manière dont on me traite je ne veux pas en parler, mais vous êtes le bienvenu pour vous asseoir près de mon feu.". Ainsi nous nous sommes assis mais je n’ai jamais regardé pour voir si je pouvais le voir même si cependant je pouvais sentir son esprit pendant environ 20 minutes, juste en tant que petit garçon, " c’est ton affaire ". Ensuite le reste des Rois est à ma gauche. Qui sont-ils? Je connais seulement Abraham, Moises, le Christ, et Michel et ils y en a tant qui pourraient être les deux derniers et je ne sais pas et je ne veux pas deviner de façon à n’offenser personne. Il y en avait beaucoup d'autres encore. Je recherchais vraiment un endroit pour me cacher quand cela m’arrivait.

Je passais le reste de l'hiver à faire du snowboard et travailler un peu sur la maison. Chaque jour je me traînerais en haut de la colline bien que j’aie les épaules douloureuses, et mon professeur continuait de me rabâcher l’histoire sur le poids du monde en plus, il faut souffrir pour être bon. Mais je n’y portais pas attention car je ne pourrais peut être pas surfer comme ça et il avait beaucoup neigé ce mois de janvier. Je pense au film au sujet de Nostradamus et comment ils ont dépeint ses leçons et comparé aux miennes, au milieu de la classe ou entouré de monde. Tandis que je montais avec le remonte pente, cette histoire me reste en travers la gorge. Cela commença par un passage en revue des leçons précédentes, plus de nouvelles. Je pouvais être assis avec quelqu'un, cela ne faisait pas de différence, les leçons arrivaient dans ma tête, des histoires sanglantes et de destruction. Vers début mars, Shekhina dit, " fais attention ", comme je montais dans les arbres. Mon professeur me poussait à écrire, et peu de temps après l'avertissement un stupide accident dans les arbres m’avait presque cassé la cheville, " écris le livre ". Le printemps est venu et depuis le temps, je n’avais qu’une page avec un mot ou deux ou peut être une expression d’une ligne.

Il y avait une pression terrible pour que j’écrive, par une belle journée ensoleillée, je suis allé faire une balade jusqu'aux chutes d'eau, avec un stylo et du papier et la feuille de papier, où quelques mots très puissants avaient été écrits durant l'hiver. La séance d'écriture prit environ 4 ou 5 heures, mais elle était si intense que j'ai dû faire un somme avant de finir. Quand j'avais terminé, j’avais rempli 9 pages pleines de vers. On me dit plusieurs choses, l’une était ce que je n'allais pas mourir en 1999 et que je verrais le prochain millénium, je dis quelques prières et je suis retourné à la maison. Cependant chaque fois depuis ce jour là, Il apporte la mort à ma porte, pour restreindre ma cage.

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