Seattle
J’ai déménagé à Seattle pour 5 ans dans l’été 1990. J’étais comme le dernier
saumon retournant à son lieu de naissance après être parti sa vie entière, retourner
pour remplir sa destiné. J’étais presque en ville avec juste un col à passer et je
savais très peu sur ce qui allait m’attendre là haut. Il y a un réservoir en haut du col
avec un ensemble de vieilles souches autour et aussi à l’intérieur, ce qui me ramena
droit en classe de 6ème et à la leçon sur le réservoir de sang. L’histoire me faisait
signe, comme je m’approchais de la ville.
Comme j’empruntais le passage sinueux du nord et presque arrivé en ville, je me
sentais un petit peu moite et anxieux, mais je demandais, « alors qui vais-je rencontrer »,
pas de réponse. J’ai seulement essayé quelques fois auparavant, une fois quand je
demandais si il n’y avait pas quelque chose que je puisse faire pour aider les
Cambodgiens pendant la période des champs minés « tueur », je ravalais ma salive
durement car j’étais si jeune. Il n’y eu de réponse, mais j’ai eu ce message, tu ne peux
pas sauver tout le monde et tu devrais t’habituer au fait que beaucoup de gens vont mourir.
Ensuite je dis, je veux vraiment parler avec vous, parce que nous somme si proche de la
date que vous m’avez donné pendant ma première leçon, quand j’avais 9 ans, juste avant
mon anniversaire en juillet 1999,quand j’avais 42 ans. Il ne m’a plus parlé ce jour là mais
doucement pendant les 5 années qui suivirent je rencontrais certaines gens et l’histoire
doucement s’étalait.
Il ne fallut pas beaucoup de temps un fois arrivé en ville avant que quelque chose se passe.
Je devais habiter chez un ami d’enfance du Minnesota en attendant que je trouve un
logement. Je lui dit ainsi qu’à mes collègues de travail que je recherchais un logement sur
l’eau où je pourrais prendre soin de moi et vivre avec mon chien pour longtemps. Environ un
moins après alors que j’étais dans un autre site de notre compagnie, je recherchais une
maison juste à coté, laquelle avait une échelle montant à la porte d’entrée (16 pieds en haut).
Je pensais que cet endroit avait besoin d’un peu de réparation. Alors un jour, le propriétaire
vint et je suis allé lui demandé si je pouvais habiter là et lui donner un coup de main et il me
demanda si j’avais l’intention de rester longtemps, je lui dis que oui et nous nous serrions la
main sur cet accord. Alors je construit un pont de 16 pieds en l’air et d’environ 40 pieds de
long afin de réunir le garage et la maison, et je déménageais là avec le raton laveur. C’était
son abri, l’étage d’en dessous avais un accès libre au lac et il y avais un arbre qui poussait
devant, lui facilitait l’accès.
Alors le chien et moi avions une place pour vivre sur la pointe sud de l’île de Mercer. Le raton
laveur avait l’habitude de venir et manger la nourriture de Molly et c’était plutôt amusant à vrai
dire. Elle se mettait en face et restait à 2 mètres du raton laveur, en aboyant avec les poils du
dos redressés, il levait la tête en ayant l’air de dire, « mais bien sur », et retournait manger.
Elle se fatiguait et finalement revenait se coucher, alors je lui jetais quelque chose, genre une
chaussure, et alors il partait, un étrange divertissement gratuit . Le seul autre divertissement
sur cette île était les policiers. Je conduisais un pick-up plus que vieux et vivait sur des
propriété hors de prix. Je du avoir une discussion avec quelques gars et enfin j’eu un camion
plus neuf, et ils me laissaient enfin tranquille.
La tempête et les secrets
Je suis presque à la fin de mon séjour à Seattle en automne 1994, mon chien et mort quelques
mois auparavant et j’étais seul si l’on exclut mes ancêtres qui commençaient à me faire sentir
leur présence. Je fis une randonnée dans les montagnes, vers un lac du Montana, qui avait pour
débouché une chute d’eau dévalant 500 pieds vers la vallée plus bas. Je levais le camp et fis
une grande réserve de bois pour mon séjour. Alors une tempête fit apparition et le temps devint
très mauvais, il neigeait à gros flocons en soufflait très fort en mugissant, la neige tombait
horizontalement au dessus de la falaise et en bas dans la vallée. Le spectacle était si
impressionnant de part les décors spectaculaires et la symphonie du vent dans les arbres
accompagné des craquements du feu en fond sonore. Juste des mots ne peuvent pas décrire
une telle scène.
Pendant que la neige continuait à tomber je me faisait un chocolat chaud mais je renonçait à le
prendre en entier et pensait à la vie folle que j’ai eu, et à ce qu’il se passait, et combien 1999
était proche. Quand j’étais jeune pendant les premières leçons, je me pensais rarement à ceci
car c’était tabou. Mais une fois que je pensais à ce qui pourrait être bien dans un plan personnel
si cela devait se passer, en dehors de l’aide aux personnes. Je pensais aux connaissance que
je pourrais acquérir en premier, avant j’essayais de tout envoyer en l’air. Alors je me sentais un
peu moite et effrayé, je regardais en dehors vers la falaise à travers la tempête et demanda :
« Je veux connaître les secrets de l’univers, des étoiles et des planètes. » Le réponse fut,
« Et du temps, et le prix sera très élevé. », je savais déjà tout à propos des essaies d’assassinats,
et à propos de la dernière, je pensais « et bien vraiment ? ». Mais j’ai grandi en m’habituant à cela,
me souciant peu de ce que je ne savais pas, et ce qu’ils feraient de moi. Je ne voulais pas Leur
donner quelconque idée, comme s’ils en avaient besoin d’une, alors j’essayais de ne pas penser
à cela. Alors je me remplissait un bol et fit du chocolat chaud et appréciais le reste du spectacle en
pensant à la vie étrange que ce fut.
La fenêtre
C’était aux environs de Noël 1994 pendant que je prenais une douche, un mot me vint, « choisis »,
je ricanais presque et pensa peu importe, il aime me parler quand je suis sous la douche car cela
va bien avec le passage de la bible, Hébreux 4.12-13
En effet, la voix de Dieu est présente
Et active, plus tranchante qu’aucune lame d’épée,
Perçant jusqu’à séparer l’âme de l’esprit,
Des articulations à la moelle ; elle est capable de juger
Les pensées et intentions du cœur. Et devant lui aucune
Créature n’est caché, mais sont toutes nues et reposent nues
Sous l’œil de celui à qui nous devons rendre des comptes.
Ensuite en janvier 1995, le Grand Rassemblement, où j’étais autorisé à regarder par la fenêtre et à
poser quelques questions. J’ai attendu cela 2 ans et j’étais si dominé par cette expérience que 2
des 3 questions étaient des questions idiotes. Je sortais avec des amis dans un bar à Pionner Square,
quand je pouvais ressentir une présence s’approcher alors je me déplaçais dans la foule sur la piste de
danse. Alors que d’habitude c’est plus comme si quelqu’un vous parle à l’oreille sans aucune sensation
de distance, c’était la première fois qu’il était au dessus de moi me regardant, je pouvais rien percevoir
mais la sensation était très intense.
Ensuite avant moi c’était comme regarder à travers une fenêtre et je pouvais voir 2 chemins, un long sur
la gauche et un court sur la droite. Comme je voyageais le long des chemins afin de voir la différence entre
les deux, il s’avérait clair que le chemin de droite aiderait le plus de gens. Ensuite il se terminait, et je
voyageais sur celui de gauche et ralenti pour voir plus en détail ce que j’essayais de faire et me rendit
compte d’un laps de temps pour lequel l’autre se terminait. Je vis un choix, et la fenêtre se ferma, en temps
réel il ne se déroula qu’une minute, ou moins.
Ensuite je posais des questions et écoutais les réponses, à la fin de la session je ne pouvais pas penser à
autre chose que demander en cet instant était trop arrogant et stupide; ce que je savais, il me regardait en
attendant de voir si je le faisais. Bien sur, demander un nom, alors qui êtes vous ? Je me rappelais celui qui
dit son nom plus tôt et aucune chance de le vérifier, j’étais juste en train d’attendre de savoir ce qu’il voulait
que je fasse et si cela aiderait des gens. J’ai toujours dit que je ferais ce que l’on me demande peu importe
le coût personnel tellement j’appréhendais d’être utiliser à des fins malicieuses. Quand je retournais à la fête,
j’étais avec mon ami me demandant ce qu’il s’était passé, il dit que je ressemblais à …, j’accusais en
haussant les épaules et me lui dit rien.
Je suis finalement arrivé à la conclusion que ceci fait parti d’un plan et que c’est mon rôle et je ferais
du mieux que possible avec la certitude que je ne serai pas parfait, et je m’excuse pour les erreurs
que je ferai malgré moi. L’effet post-trauma de cette expérience dura environ un mois et je n’ai jamais
ressenti quelque chose d’aussi fort avant et depuis, cela dura longtemps, et un certain nombre de fois
en 1999, mais l’ effet euphorique était seulement de quelques jours.
Quelquefois une leçon mettait en scène un film, comme celui qui finalement mis bout à bout beaucoup
de pièce du puzzle ensemble. J’ai eu du mal à voir le film Nostradamus et j’étais curieux car je pourrais
peut être apprendre quelque chose qui pourrait être bonne. Alors quand le film sorti dans les bacs, je le
louais et les choses vinrent d’elles même. Vers la fin du film, il parle à sa femme Ann, et il lui explique le
livre et la lettre à César (leur fils), quand il lui dit « Ceci est la fin du 20eme siècle », et là la voix nous dit,
« et j’espère que mon fils comprendra. » donnant l’adjectif décrivant ce film, spirituel, comme dans fils
spirituel. Mais comme l’histoire se déroule, je suis relié par sa sœur, car ses fils n’eurent pas d’enfant,
du nom de Magdalene. Ensuite je devais aller à la bibliothèque commander son livre, et pensait qu’il
faudra des mois et des mois pour le traduire, mais arrivé à la bibliothèque, ils avaient plusieurs livre
de Nostradamus par Erika Cheetham. Ceci allait être un de mes deux livres pour mes années
universitaires qui commençaient à peine, l’autre, je l’ouvrais seulement six mois plus tard et c’était celui
que je craignais le plus, la Bible. Je savais le jour où je commençais qu’un jour je lirai et étudierai le plus
grand livre, mais seul un imbécile ignorant n’aurait pas été intimidé. Même si seul un imbécile aurait
essayé de s’enfuir.
La date de mon anniversaire approchais et j’aillais avoir ma première leçon en public, c’était dur. On
m’a dit de dire aux gens à qui je louais la maison que je restais sur quelque chose que je voulais pas dire.
Je n’ai parlé de cela à personne encore, et seulement mentionné dans une lettre adressé à une personne
il y a six mois de cela. Pendant que je travaillais ce jour là, il était propos de choses diverses et à un certain
point il dit, je ne serai pas aussi facile que ton père l’était avec toi. Je rigolais plutôt jaune comme je
pensais, vraiment ? vous avez déjà brisé mon corps, et le choc émotionnel l’est plus encore, comme si l’on
vidait un réservoir sur un garçon de 11 ans. Alors je du écrire une lettre au public et je pouvais sentir ses
mains m’aider à écrire. Je comprends mieux maintenant ce qui est enseigné à un enfant sur comment les
mains de Dieu aidèrent à écrire la bible. Ce fut le premier grand saut vers le public et je tremblait comme
une feuille. Je me rappelle m’être replier en position fœtale et gémir pendant quelques minutes, « je ne
veux pas connaître le futur ». Ensuite je m’asseyais et pensa : et bien, je pense que ce que j’espère n’arrivera
jamais, c’est en route, et que je devais mieux me remuer moi même pour une fin difficile afin de vivre ma vie
comme un homme.
C’est la date de mon anniversaire et ce qu’il voulait me faire dire était très clair, et c’était intelligible dans
mon esprit que je ne voulais pas le faire. On m’a dit que les grand parents à qui appartenait le lieu, celui
des petits fils, que j’aimais eu une rupture d’anévrisme de l’artère carotide droite. Il ne lui serait fait aucun
mal, ceci serait un signe. Une de ces histoires à propos de Nostradamus , comment il sauva un enfant et
cet enfant fut blessé pour le reste de sa vie. Bien qu’il soit vérifié que la plupart de ses premières prédictions
étaient fausses et je voulais éviter ce genre de chose autant que possible, l’effet du changement de vent.
Aussi, similaire à l’expérience de la fenêtre, il était au dessus de me et il se sentait comme un idiot au cœur
de pierre quand il me posait une question : « Que pensez vous du bluffe ? ». Ma réponse fut : « Pas grand
chose, je suppose que parfois cela a son intérêt. » Bien sur bien pensant, je vais dire à ces gens cela et
que rien ne va arriver et ils penseront que je suis fou, …, juste aimable.
Ensuite, il fit un arrangement avec la presse et je devais faire une répétition. Une partie du plan était avec
la bouteille de champagne qu’il m’avait fait acheté et que nous dégusterions avec le gens de Sarajevo
après que les Serbes soient partis car j’aillais les menacer avec un tremblement de terre. Je répétais une
ou deux fois, mais finalement je dis, j’affronterai cela quand ils viendront m’appeler.
Je le dis à la grand mère de l’enfant, et elle était si contente pour son petit fils. Ils me prirent au sérieux un
instant car je commençais à les connaître du fait des 5 dernières années avec eux, mais quand rien de se
passa, il n’y eu besoin de dire que la relation se dégradait ; et six semaines plus tard je devais partir.
La nuit, il commençait de parler à propos de toutes sortes de choses et il me filait la trouille avec ses
paroles qui me traversais l’esprit quand il parlait. J’étais habitué à porter des T-shirts de réunion de
famille comme si ils pouvaient prévenir le plus gros de ma famille pendant que les informations me
parvenaient, j’allais et venait d’un pas rapide juste en écoutant chaque histoire l’une après l’autres, en
regardant les lumières dansant sur le lac.
Je pris l’habitude d’aller aux îles San Juan pour prendre l’eau avec le bateau que je venais de retaper,
et lire le livre que l’on venait de me donner. Je pouvais le mettre au loin pour pendant quelque temps
car j'ai rencontré un vieil ami de NY et sa famille pour les premiers jours. Alors je suis allé mouillé l’encre
à la baie de Doe et il a commencé à pleuvoir fortement et la tendance était à, « lis ce livre, je l'ai écrit
pour vous ». Ainsi je le lis entièrement d’un bout à l’autre pour la première fois. J'ai été attaché au loin
à une bouée et la nuit était comme un kaléidoscope avec la pluie et le photo-plancton dans l'eau,
rougeoyant quand ils sont agités par la pluie ou certains mouvements.
Un week-end à Missoula
Je suis allé au Montana environ un mois avant que je me déménage de nouveau à Missoula. Je
me tenais au milieu de la crique qui coule en cet endroit et pensant à cette histoire et de la façon
apaisante que la chanson de l'eau dégringolant la roche était quand j'ai entendu pour la première
fois sa voix douce dire, « c'est à vous ». C'était le Créateur, et j'ai été emporté au loin, ne sachant
pas quoi penser, ou ressentir, ou faire . C’était simplement incroyable et dura aussi longtemps qu'il
prend pour lire ces trois mots, et waw..., juste engourdi et humilié. Je puis voir que j'aurai de gros
ennuis quand j’irai à la maison dans quelques mois, et que je devrai faire face à ce qui arrive.
Juste avant Bumbershoot je conduisais vers ma maison ayant un argument commun pour mon
retour et aussi au sujet de qui êtes vous et qu’est ce que vous voulez et si vous faites quelque chose
de mal à quelqu'un je sais que cela montrera seulement que vous êtes mauvais. Comme si j'avais
quelque proverbes en la matière et que ce tout serait facile, quel imbécile. Puis très tranquillement il
a chuchoté que le frère d’un des mes amis avait des ennuis. Ayant peur j'ai demandé si je devais lui
dire et il me dit que non, je suis le diable et donc il est trop tard, c’est déjà fait. Quand je suis devenu
à la maison il y avait un message sur le répondeur. Il était de mon ami, et il m'a pris plus d'un jour
pour rassembler le courage de le rappeler. Quand finalement je le fis, il dit son frère était mort. Je
ne perdais pas mon sang froid, mais j’étais venue libéré et j’étais très en colère l’avoir annoncé de
cette façon. Mon professeur/tourmenteur était au-dessus de moi regardant vers le bas et il s'est
senti comme avoir une cœur de pierre ____. Il est frustrant d’être si en colère contre quelqu'un qui
n'est pas physiquement là. Il m'a calmé en discutant de l'affaire et alors il a dit qu'il était temps
d'obtenir mon passeport, ce que je fis, et que son temps était venu (celui du frère de mon ami) et
il en est ainsi. Il a également dit que « et ceci est pour vous » , signifiant combien réel et tout cela et
il y aura un jour, des choses pour vous.
Pendant que j’étais à Bumbershoot , à écouter beaucoup de grands classiques comme Joan Osborne,
Bela Fleck etc..., j'ai entendu entre autres choses « soulever le couvercle sur la cuvette de toilette et
mettre la vie où vous avez pensée qu’elle vous amènerait, et tirez la chasse .». Puis juste au cas où
je ne recevais pas le message on m’a dit « vous êtes _ _ _ _, et ce ne sera pas la joie» . Mais au
moins nous pourrions convenir de quelque chose. Mais ce n’a pas été la joie depuis que je suis enfant,
mais j'ai développé une manière d’y faire face, je le prends comme si c’était des affaires, en quelque
sorte, et je ferais ce que je peux et je me rappelais ce que mon professeur de 6ème m'a enseigné au
sujet qu’il fallait toujours essayer de sourire et être quelqu’un d’heureux, alors c’est ce que je fais. On
m’a dit qu’un jour j’envierais Bill Gates, une pause, puis, son anonymat, Berk.
Ainsi la première personne que je rencontrais à Seattle était un vieil ami avec qui j’ai grandi et j'ai su
qu'il était une partie de ceci pendant 30 années, bien qu'il ne l'ait pas découvert jusqu'à ce que je le
disse aux autres en été 1995. Bien que six mois plus tôt j'ai parlé à un des personnes j'ai rencontré
en 1993 un petit peu au sujet de leur rôle. Une autre sera notre porte-parole pour les médias et quand
je lui ai dit que j’ai dit qu’un jour vous vous assiérez à table avec le président et elle vous écoutera.
En même temps que je devenais ami avec un homme bon et son épouse qui travaillait pour une
corporation importante alors. Ce n'est pas l’endroit pour vous dire qui ceux ci et qui les autres sont,
ils leur appartient de joindre l'équipe, et il y en a beaucoup d'autres et nous avons besoin de tout
ceux qui pensent que les 2 buts sont dignes, parce que vous êtes tous enfants de Dieu et c'est Sa
volonté. Je pouvais aller indéfiniment mais....comme vous pouvez voir j'ai commencé à obtenir la
réponse à la question que j'avais demandé pendant que je conduisais en ville cinq ans de plus tôt.
Comme je suis parti de la ville pour ma maison pensant aux heures étranges j'ai eues là, on m’a
donné une dernière chose à songer sur le chemin, quand il dit, « vous êtes le dernier ». Je pensais,
oh bravo, je vais devoir dire que c'est la fin. Je suis très heureux que ce ne sois pas le cas, je suis
juste le dernier des sept rois, comme nous entrons dans une ère où les femmes seront les plus
puissantes, et dans 1000 ans, je chuchoterai dans son oreille, vous êtes l’élu.
Il y a des choses que tout le monde peut faire, riche ou pauvre, jeune ou vieux, comme dire une
prière, pratiquer divers actes de bonté. Cette histoire commence seulement à être racontée et
je ne sais pas quelle importance elle va avoir car c'est une histoire interactive et VOUS avez le
rôle le plus important.