L’université du Minnesota Duluth, quelle belle université plombant le Lac Supérieur, J’y suis allé en dans le printemps 1975. J’étais chanceux d’avoir pu avoir une chambre dans le village qui était un rassemblement de structure genre mobile home sur le campus. Il y a une chambre au bout de chaque unité que deux personnes partagent. Celle que j’avais avait une belle vue sur le lac et j’aimais regarder le levé du soleil sur le lac avec toute la grandeur les couleurs d’un chef d’œuvre, le réveil d’un nouveau jour. Mes colocataires étaient des gars gentils, ils étaient en dernière année et j’étais en première année, alors il fallut un peu de temps afin de se connaître. Ce fut plus dur pour Bono mon colocataire, car son colocataire du trimestre dernier n’allait pas à l’école et il pensait qu’il allait avoir la chambre pour lui seul. Alors je comprenais sa situation et je ne rendais pas la situation facile car j’avais établit un certain nombre de règles lesquelles nous devions suivre. C’était vraiment un gentil garçon et j’espère que tout c’est bien passé dans sa vie. Les règles, et bien la première était que nous ferions une rotation pour le nettoyage de la douche et elle devait être nettoyer régulièrement. L’autre, et bien je gardais une vieille chaussure de tennis à coté de mon lit et si tard la nuit cela devenait trop bruyant, généralement demander de se taire suffisait mais le coup de la chaussure marchait toujours. Je me rappelle qu’une fois nous avions eu une grande bataille de nourriture dans la maison, c’était notre coté contre l’autre coté. Bono gardait aussi un garde à manger pour oiseaux dehors devant la porte d’entrée et un matin et soir des gros becs venaient dans leur joli apparat coloré pour leur repas.

Bien, retournons au travail, une de mes classes portait sur l’histoire romaine et un jour, pendant que je suivais le cours m’aidant du livre, nous écoutions une histoire à propos de ce que faisaient les Romains lorsque les choses venaient à se détraquées et que les politiciens ne pouvaient plus les gérer. Et bien certaines choses n’a pas changé, les politiciens sont perdus. Ce qu’ils faisaient est qu’ils suspendaient les règles pendant 6 mois et prendre au sort quelqu’un de la rue et le laissé prendre les décisions pendant que les Sénateurs faisaient foi. Pendant que le professeur en parlait, mon professeur-tourmenteur dit « tu ne peux pas y échapper ». Je me dis je ne vais pas être si difficile, mais maintenant que le temps est presque sur nous, je peux dire que j’ai essayé de fuir. Je peux me rapprocher à Jonah mais j’ai peur que vous ne répondrez pas de la même façon que les Ninevites. Quand Jonah se montrant sans s’annoncer et parla contre la ville, le Roi ordonna tout le monde de se revêtir de sac et de se repentir. Je suis venue sans m’annoncer, et l’Église et les autres ne voulaient pas écouter. Ils pensent stupidement qu’ils peuvent ne pas écouter et que la situation se rétablira. Je me suis de quelque sorte habitué à ce qu’il allait m’arrivé autant qu’une personne puisse le faire, de tout façon. Ma peur est pour ceux qui entendent mais n’écoutent pas, qui vont voir mais ne changeront pas. Ce sont ceux qui accompliront ce que je viens d’écrire, c’est ce dont je suis le plus désolé.

Nous avions eu un devoir pour la classe d’écrire une rédaction au sujet de notre choix. Pendant que je me posais des questions dans la bibliothèque cherchant différents sujets sur l’histoire Romaine, je commençais à sentir « le sentiment ». Ensuite j’étais dirigé sur le sujet de Ciscero et pendant que je feuilletais un livre à propos de sa vie, la voix dit « et tu seras comme Ciscero ». C’était un fameux Orateur dans l’ancienne Rome et conseillait le politiciens et le peuple. Ceci est quelque chose que je ferais, conseiller le peuple, les nations et les individus, et ceux qui écoutent vivrons bien mieux que ceux qui n’écoute pas.